Ça bouge en Nouvelle-Calédonie 

En nommant ambassadeur le footballeur mélanésien Christian Karembeu, en invitant les influenceurs à chatter sur le « Caillou », l’OT calédonien donne du net à l’image floue d’une « destination France » desservie par… les 22h du plus long vol intérieur. Si la Nouvelle-Calédonie est hors cible côté carbone, elle donne dans le mille pour contrer le surtourisme.

Dotée des plages blanches du Tahiti d’il y a 40 ans, de pistes rouges sentant l’aventure, de prairies blondes évadées d’un western, elle offre à la randonnée ses monts plantés de fougères géantes et d’araucarias – nommés ici « sapins » – où sifflotent cagou et notou – oiseaux rares d’une nature endémique à 76 %. Protégées par les 1600 km de corail du plus grand lagon du monde, baignade et plongée sont aussi prétextes à l’immersion dans la triple culture des Kanaks, Broussards et Calédoniens. [A lire aussi : Nouvelle-Calédonie : les chantiers de l’agence Sud Tourisme pour 2024]

INFOS PRATIQUES
 

Temps de trajet : depuis Paris, 22 à 24h (selon l’escale). Vols inter-îles : 30 minutes.
Formalités : passeport.
En terre tribale, on « fait la coutume » (menu cadeau au chef en vue d’un droit de passage).
Monnaie : le franc pacifique (FCFP) a un cours fixe. 1 000 F = 8,34 € – 1 € = 119 F

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[Fiche Destination] Quoi de neuf en Nouvelle-Calédonie ? (lechotouristique.com)